De même, les éleveurs d’animaux familiers, mais aussi toute la production animale agricole, utilisent plus ou moins directement les compétences du comportementaliste. Il ne faut pas oublier les « utilisateurs » d’animaux comme les pompiers, la police, l’armée et les associations d'aide aux personnes handicapées.
Le comportementaliste doit posséder des connaissances dans le champ des sciences animales : l'éthologie, la physiologie animale, mais également en psychologie.
Conscient des limites de son action, le comportementaliste peut orienter, le cas échéant, son client vers un autre professionnel ayant compétence pour l'aider : le vétérinaire pour soigner et l'éducateur canin pour dresser et parfois le psychologue pour aider le propriétaire en proie à une situation de profond malaise personnel ou le cynologiste...
Le Comportementaliste apporte un conseil auprès des propriétaires d'animaux familiers (généralement le chien et le chat). Son action vise à rétablir la relation perturbée entre une personne ou une famille et son animal de compagnie.
Cette activité intéresse tout le circuit spécialisé du commerce d’animaux familiers.